Pourquoi initier est plus dur que suivre

Pourquoi initier est plus dur que suivre

Vous avez une idée brillante… mais vous restez figé.
Parce que ce n’est “pas le bon moment”.
Parce que vous voulez être sûr.
Parce que “personne ne va vous suivre”.
Ou juste parce que… c’est flippant.

 

Pas de panique. C’est normal.

Initier, c’est ce qu’il y a de plus dur.
On ne sait pas s’il y aura un retour.
On ne sait pas si ça va plaire.
On ne sait même pas si quelqu’un va suivre.

Parce qu’initier, c’est faire un pas dans le vide.

C’est entrer dans une salle vide, poser une idée sur un écran blanc, affronter un silence gênant.

 

Et en même temps…
C’est ça qu’on retient.
Celui ou celle qui a osé allumer la lumière alors qu’on était tous dans le noir.

 

Il n’y aurait pas de projet, pas d’équipe, pas de tribu,
s’il n’y avait pas, au départ, une personne qui s’est dit :
“Je ne sais pas si ça va marcher. Mais j’y vais quand même.”

 

Aujourd’hui, on like, on commente, on partage.
Mais on oublie de remercier ceux qui ont juste… lancé.
Pas parfait. Pas suivi. Mais lancé.

 

Alors voilà :
Si vous attendez que ce soit le bon moment, que tout soit prêt, que quelqu’un valide…
Vous allez attendre longtemps.

Lancez. Même petit. Même bancal. Même flippé.

Parce qu’on ne devient pas un leader en suivant des traces.
On le devient en traçant la sienne.

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